Fermine architecture a été fondée par Lucile Buquet, Architecte HMONP.
Lucile BUQUET
Diplômée de l'ENSA Normandie en 2011, Lucile Buquet travaillera dans les agences Jean-Paul Philippon puis Dominique Perrault Architecture à Paris, avant de démarrer une activité indépendante en 2017 sur Nantes . Son expérience professionnelle sera marquée par son intervention sur du patrimoine d'exception : Le Musée d'Art et D'Archéologie de Valence, Le musée de la piscine de Roubaix, La poste du Louvre de Paris et enfin Le pavillon Dufour du château de Versailles. Forte de son expérience de 10 ans au sein de l'agence DPA, elle sera en charge par la suite des travaux touchant au patrimoine contemporain de l'agence Dominique Perrault : L'agrandissement de l'usine APLIX, Les aménagements de la Bibliothèque Nationale de France puis la réhabilitation de l'Hôtel Industriel Berlier, équerre d'argent de 1989.
PHILOSOPHIE
SOCIETE & ENJEUX
En France, près de 20% des émissions de CO2 sont imputables aux logements. L'agence est engagée dans la société, et croit au rôle de l'architecte dans la transition énergétique, auprès des maîtrises d'ouvrages publiques mais surtout auprès des particuliers. Nous proposons des missions pour accompagner les maîtres d'ouvrage privés dans la construction et l'amélioration de leur cadre de vie dans un cadre bienveillant, de l'ésquisse juqu'à la réception des travaux.
RESILIENCE
L’architecture résiliente se nourrit de l’histoire de son site, du déjà-là, elle n’est jamais en rupture avec son contexte, elle est une invitation à la jouissance du lieu pour tout. L’architecture résiliente est une réponse constructive sobre et pourvues de qualités spatiales généreuses. Elle tend à être évolutive si son système constructif est suffisamment rationnel. L’architecture résiliente est constituée de matériaux locaux, raisonnés ou biorsourcés. Les matières synthétiques peu recyclables ou à usage dispersif sont évitées. L’architecture résiliente fait état des différentes espérances de vie de ses composants, l’imbrication des éléments à faible durée de vie (techniques ou à valeur d’usage) à la structure est réfléchie et limitée, les modes d’assemblage sont raisonnés.
Cette sensibilisation au patrimoine existant, posée en toile de fond, transcende notre regard sur les enjeux actuels, notamment celui de la densification périurbaine : les siècles futurs seront encore marqués par les zones pavillonnaires déjà-là, et il faudra inventer une manière d’évoluer avec cette matière patrimoniale d’un genre nouveau.